venerdì 5 giugno 2009

a J. Fontanille - Impression Les levers de soleil de Marcel Proust

Cito questo pezzo per una questione o due: l'idea di continuo e di disegno sotto forma di hypotiposis - fissa, immagine dal basso valore cinetico, animata, resa schematicamente con un passaggio di elementi e oggetti che restano così ad un grado minimo della presa: si tratterebbe di frame aspettuale dove l'incoatività non di meno segna il punto della deriva; di negativo, in cui tuttavia non si confonde la decadenza con la rinascita; di corsa, all'assemblaggio di un immagine unitaria: fragments intermittents - vue totale. (Proust, 1954, p. 240)

Les levers de soleil sont un accompagnement des longs voyage en chemins de fer, comme les oeufs durs, les journaux illustrés, les jeux des cartes, les rivières où des barques s'évertuents sans avancer. A un moment où je dénombrais les pensée qui avaient rempli mon ésprit pendant les minutes précédentes, pour me rendre compte si je venais ou non de dormir (et où l'incertitude même qui me faisait poser la question était en train de me fournir une réponse affirmative), dans le carreau de la fenêtre, au-dessous d'un petit bois noir, je vis de nuages échancrés dont le doux duvet était d'un rose fixé, mort, qui ne changera plus, comme celui qui teinte les plumes de l'aile qui l'a assimilé au le pastel sur le quel l'a déposé la fantasie de peintre. Mais je sentais qu'au contraire cette couleur n'était ni inertie, ni caprice, mais neccessité et vie. Bientôt s'amoncelèrent derrière elle des réserves de lumière. Elle s'aviva, le ciel devint d'un incarnat que je tâchait, en collant mes eyeux à la vitre, de mieux voir, car je le santais en rapport avec l'existence profonde de la nature, mais la ligne du chemin de fer ayant changé en direction, le train tourna, la scène matinale fut remplacée dans le cadre de la fenêtre par un village nocturne aux toits bleus de clair de lune, avec un lavoir encrassé de la nacre opaline de la nuit, sous un ciel encore semé de toutes ses étoiles, et je me désolais d'avoir perdu ma bande de ciel rose quand je l'aperçus de nouveau, mais rouge cette fois, dans la fenêtre d'en face qu'elle abandonna è un deuxième coude de la voie ferrée; si bien que je passais mon temps à courir d'une fenêtre au lautre pour rapprocher, pour rentoiler les fragmentes intermittents et opposites de mon beau matin écarlate et versatile et en avoir une vue totale et en tableau continu.

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